Pour une véritable torrée neuchâteloise, ce n'est pas très compliqué.
Avec quelques amis, tu choisis un bel endroit dans les pâturages jurassiens, tu y fais un grand feu de bois, et, quand les braises sont à point, tu y enfouis quelques saucissons préalablement emballés dans des feuilles de chou et quelques couches de papier journal.
Tu n'as plus qu'à attendre 30 à 40 minutes avant de les récupérer et de les déguster!
Mes deux pieds et moi, avec les quelques amis qui vont bien, avons sacrifié à la tradition pas plus tard qu'hier.
Et c'était drôlement chouette!
Défi photo 2023 de Virginie
semaine 39
Je trouve un objet/personnage et je le mets en scène :
je raconte une histoire, épisode 5
Mais c'est trop bien!!!
RépondreSupprimerOuiii, chaque automne on est heureux de remettre ça!
Supprimer:-)
Miam ça a l'air vraiment chouette, la sortie, les amis et le repas sous la braise. Faut que je vienne déguster ça ;-)
RépondreSupprimerSi tu passes par ici, je te fais découvrir ça!
SupprimerLa torée, toute mon enfance et adolescence…
RépondreSupprimerParti de La Tchaux en 1976 pour Genève, les torrées se sont estompées.
J'ai découvert la Longeole et les cardons !
Moi c'est à l'âge adulte que j'ai découvert la torrée, en venant vivre dans le canton de Neuchâtel. On n'en faisait pas dans mon Ajoie natale.
SupprimerLa longeole et les cardons, je crois que je n'en ai jamais mangé!
;-)