Les arbres timides et forts
La nuit parlent à voix haute
Mais si simple est leur langage
Qu'il n'effraie pas les oiseaux
La nuit parlent à voix haute
Mais si simple est leur langage
Qu'il n'effraie pas les oiseaux
Marcel Béalu, Voix des arbres, in Poèmes 1936-1980, éd. Le Pont traversé, 1981
J'ai retrouvé ce petit bout de poème dans un vieux brouillon d'articles jamais achevés ni publiés
J'ai retrouvé ce petit bout de poème dans un vieux brouillon d'articles jamais achevés ni publiés
Je ne sais plus du tout où je l'ai attrapé.
Merveilleusement appropriés, la photo et le poème! merci Loulou, bises
RépondreSupprimerBises et merci à toi, chère Adrienne !
Supprimer:o)
Il est très doux ce poème et en effet tout à fait approprié. L'image est bien belle...
RépondreSupprimerMerci Anne !
SupprimerJ'aime bien tes petits rendez-vous hebdomadaires
;o)
L'image sied à merveilles aux mots ! Bien jolie poésie !
RépondreSupprimerOui c'est joliment dit !
SupprimerLa suite du poème est plus sombre.
Merci virevolte !