dimanche 2 février 2020

Une araignée au plafond



La macrophotographie (macro pour les intimes) est la technique permettant la prise de vue des petites choses, des détails, dans un but de grossissement du sujet photographié. C'est ce que Virginie nous demande de faire ce dimanche. Pour de bons résultats, il vaut mieux utiliser un objectif adapté. C'est ce que m'avait recommandé ma prof, l'été dernier, en voyant que j'aimais tout spécialement les photos de nature et de p'tites fleurs. Mais d'objectif macro, je n'en ai toujours pas. Tant pis, je ferai sans!
Je suis donc partie à la recherche de petits détails de mon environnement à mettre en évidence. Les semaines précédentes, c'est à l'extérieur que j'ai puisé mes sujets. J'avais envie de changer un peu. Et puis dehors le temps est à la pluie et à la tempête. C'est en levant le nez dans la maison que je l'ai aperçue...




Elle a élu domicile dans mon salon. Mais elle a plusieurs copines dans différentes pièces de la maison.
Je n'aime pas tellement les araignées, elles me font peur. Celle-ci, un pholque phalangide, ça va.  Elle reste tranquillement dans son coin de plafond en attendant qu'une proie se prenne dans sa toile discrète. Mais ses cousines tégénaires qui squattent le sous-sol, brrrr! Grosses, velues et rapides, elles provoquent chez moi de violentes réactions de peur et de rejet.
Pendant longtemps, j'ai essayé de me débarrasser de ces colocataires pleins de pattes en les faisant sortir, en appelant le Nini à l'aide, ou encore en allant chercher l'aspirateur...
Je ne le fais plus, me contentant de les surveiller du coin de l’œil.


semaine5
La leçon de photo : macro




13 commentaires:

  1. oui elles sont utiles dans la maison, je les dérange le moins possible
    (et je leur parle, oui oui ;-))

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    1. je n'en suis pas encore à leur faire la conversation, mais nos relations sont maintenant pacifiques, c'est déjà ça!

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  2. Je laisse la famille de pholcus habiter le plafond de la douche, mais gare à eux s'ils descendent trop bas, ils risquent de finir noyés ! Les autres habitantes de la maison, probablement des tégénaires, ont droit de cité à condition de ne pas se montrer en plein jour, exception faite de celle qui vit dans le seuil de la porte. Si l'un d'elles se risque à traverser le salon sous mes yeux, elle atterrit dans un gobelet et va vivre sa vie au fond du jardin !
    Et j'aspire sans pitié les toiles au plafond, je laisse celles qui sont cachées derrière les meubles, c'est tout.
    C'est déjà un grand progrès par rapport à mon adolescence, où elles me faisaient hurler, mais on m'a dit que les araignées ne fréquentaient que les maisons saines, alors…
    (et c'est drôle, moi aussi, j'ai choisi une photo d'araignée, mais d'un tout autre genre)

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    1. Je pratique aussi la technique du gobelet pour les tégénaires qui sortent de leur sous-sol... vraiment elles me stressent celles-là, même si je sais que c'est ridicule.
      Et je ne savais pas que ça s'appelait une araignée, ta pièce cassée, et je ne sais pas non plus à quoi ça sert...

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    1. Je viens de voir. Deux sortes d'araignées bien différentes, en effet. La tienne ne fait pas peur du tout :D !

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  4. Je n'aime pas non plus les araignées, mais j'en ai quand même beaucoup moins peur maintenant qu'à une période. J'en vois assez rarement, chez nous... juste des toiles que j'aspire de temps en temps au plafond ;)

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    1. Oui, moi aussi. Et si elles ne me prennent pas par surprise, ça va, j'arrive bien à me raisonner.

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  5. Elle est toute mignonne ton araignée ! J'ai de la chance je n'en ai jamais eu peur. Par contre je fais une phobie des animaux rampants, vipères, couleuvres et même orvets inoffensifs...
    Chacun ses peurs, c'est grave docteur ? Dois je consulter un psychiatre ? :) :) :)

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    1. Ah ben non, si ça ne te gâche pas la vie, je ne pense pas que cela soit nécessaire!
      Moi, les serpents ne me font pas peur, ni les rongeurs genre rats ou souris.
      On ne sait souvent pas d'où viennent les phobies. Je crois à une mémoire ancestrale qui remonte à plus loin que notre propre vécu. Mais je comprends aussi qu'on n'adhère pas à ça.

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    2. Et oui, je le trouve joli moi aussi, ce pholque. Mais ce type d'araignée ne me fait rien. Et je me souviens qu'enfant, je jouais avec eux et les faisais courir sur mes bras. Mais les grosses (ou même petites) poilues, aaargh, je ne supporterais pas de les voir sur moi.

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  6. Araignée? Non je n'en ai pas peur. Par contre si tu veux me faire détaller présente moi une limace!

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    1. Ah oui ?
      Je trouve ça beurk mais même pas peur.
      A chacun ses p'tites ou grandes frayeurs!

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